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Au mois de décembre 2021, sur les premiers contreforts des Pyrénées et à moins de 400m d’altitude, la visite de 3 petites cavités nous permettent de bien nous occuper, avec au programme, vérification topo, étude des cavernicoles, photos et un peu de vidéo.
C’est sur, le descendeur n’a pas trop chauffé, avec seulement deux puits de 10m, mais c’était bien suffisant pour mériter la bière à la sortie.
Et lorsqu’il n’y avait pas de puits, les concrétions vues nous donnaient assez soif pour la bière!
Et enfin, si ce n’est pas les puits ou les concrétions qui nous donnaient soif, c’était la chasse aux monstrueux cavernicoles qui nous asséchaient la gorge!
Et en dernier lieu, une de ces trois grottes m’a permis de réaliser quelques plans pour la réalisations du film : “Qu’est ce qu’il y a à voir en spéléo et canyonisme?”
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Après un peu de retard à l’allumage à cause des différents confinements, on se retrouve à trois, Vincent, Manon et Brice, le 21 juillet 2021 pour commencer l’escalade. Grace à nos Scurions, on se rend vite compte qu’il faut mieux tenter l’escalade par le cotée de la salle Adélie, car beaucoup moins merdique au niveau de la roche en place. En espérant bien sur que la lucarne entrevue côté Adélie, jonctionne bien avec la lucarne côté Queffelec.
Cette escalade débute à 5 m du cheminement emprunté lors des traversées. Grace à la virtuosité de Vincent, l’escalade est rapidement terminée au bout de 15m, dont les 5 derniers sur un éboulis branlant, ne demandant qu’à descendre dès que l’on pose les pieds dessus…
Une fois les trois réunis en haut, on laisse passer Manon devant, elle qui réalise sa première ”première”. Comme prévu, on arrive alors rapidement au niveau de l’ouverture qui donne sur la salle Queffelec!
Quelques jours avant cette découverte, nous apprenions le décès du Baron Jacques Sauterreau de Chaffe, (mais était il vraiment Baron?), spéléo emblématique de la Pierre et grand ami de Corentin Queffelec. En sa mémoire, nous nommons alors ce réseau , le réseau du Baron.
En quatre explorations, et avec l’aide également de Cécile et Jean-Paul, nous découvrons et topographions 400 m de nouvelles galeries. Malheureusement ça n’ira pas plus loin…..
Mais la découverte de quelques beaux passages nous permettent de faire quelques belles photos souvenir.
Sans oublier la descente de 40m plein pot, depuis le plafond de la salle Adélie, pour atterrir à moins de 10 mètres du départ de l’escalade initiale.
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Dès son acquisition, j’avais bricolé un bidon étanche pour pouvoir l’utiliser en condition vraiment humide sans le sortir avec tous les risques que cela comporte . Voir l’article ici.
Puis par un système de cordelettes que j’ai accroché au bidon, il était possible de le suspendre directement sous un spéléo pour effectuer des photos dans des puits.
Mais étant donné qu’il est impossible de faire une fixation irréprochable sans percer le bidon étanche, j’ai utilisé cette technique uniquement dans des puits pas trop grands et sans risque d’accrochage pour éviter tout risque de chute du matériel, ce qui aurai pu engendrer de belles frayeurs, un trou sur le casque du spéléo qui se trouve dessous et un trou dans le portefeuille…
En vue de nouvelles séances photos dans plusieurs grands puits, j’ai trouvé sur le catalogue d’Aventure Verticale le kit parfait pour le transport de ce bidon étanche, le modèle 15L AVSP29, petit kit personnel d’un volume de 15 litres et de 42cm de haut (le bidon étanche fait 40cm de haut).
Par contre il faut apporter quelques modifications pour pouvoir utiliser le flash à l’intérieur de son bidon étanche, sans avoir à le sortir du kit. Comme Aventure Verticale fabrique tout son matériel en France et qui plus est, est à l’écoute des spéléologues, je leur ai donc demandé si c’était possible de le customiser avec quelques modifications.
Dans un premier temps, faire un trou assez large au fond du kit! Dans mon cas, une ouverture de 10cm de diamètre pour laisser passer la lumière du flash (la vitre du fond du bidon étanche fait 10cm), et bien sur, sans que le bidon ne passe au travers du kit !
Dans un deuxième temps, coudre sur les cotés du kit, 4 petites sangles permettant le passage de mousquetons pour y accrocher un système de fixation à 4 cordelettes.
Et voilà, les modifications sont faites pour une utilisation facile et en sécurité dans les puits et même dans les galeries, sans peur d’abimer le flash ou de le faire tomber.
Le système de cordelette permet de maintenir le kit dans la bonne position avec l’éclair vers le bas. Par sécurité, le sac est également accroché au spéléo avec la longe du kit. Le bidon du flash est sécurisé à l’attache matériel interne du kit (au cas ou le fond se déchirerait).
Ce système d’accroche par les 4 cordelettes permet un basculement facile du bas vers le haut, ainsi le spéléo peut avoir le flash sous lui en position contre-jour.
Cette possibilité est très pratique également à la base des puits. On accroche ainsi le kit avec un bloqueur sur la corde, 2 mètres au-dessus du sol, et on peut faire une séance photo de contre jour dans le puits, sans laisser quelqu’un à la base du puits en train de tenir le flash, au risque de se prendre des cailloux sur la tête.
Si on fait la séance photo à la remontée, il suffit de tirer sur la corde pour remonter le flash et déséquiper.
Comme j’utilise ce flash principalement à plein puissance et avec la parabole, une fois allumé, je n’y touche plus, si bien que pour des séances en dehors des puits, ca se fait très facilement.
Pour protéger (rayure, casse, salissure) la vitre plexi du bidon étanche lors du transport sous terre, j’intercale un bout de 20cm de diamètre de néoprène (vieille combinaison) et également un bout de toile PVC entre le bidon étanche et le fond du kit. Et bien évidement, pour le transport, on enlève les 4 mousquetons et les cordelettes qui servent à la suspension dans les puits.
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Cette traversée aquatique est un petit canyon souterrain qui se descend avec un grand plaisir de jouer avec l’eau omni présente du début à la fin.
Après la première cascade de 18m, les obstacles s’enchainent assez rapidement pour ne jamais s’ennuyer.
Ce site est particulièrement adapté à la découverte de la spéléologie, c’est pourquoi, on y croise souvent du monde pendant l’été pour trouver une fraicheur bienvenue.
Une dernière cascade de 5m permet de se retrouver dans la galerie terminale qui nous permet de ressortir au jour après 2 à 4 h de ballade aquatique.
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]]>On se retrouve donc à 5 au canyon du Brousset, sous le col du Pourtalet. Eric et Sam s’occuperont de l’équipement, Michèle et Lucie serviront de modèle, et moi, j’essayerai de fait quelques photos dans des conditions un peu particulières (froid, neige, eau, glace, embruns, etc…).
Dans la première partie du canyon et sa cascade de 20 mètres, le soleil est bien, présent et permet de faire une bonne séance photo dans cet endroit particulièrement photogénique, avec le pont de l’ancienne route qui passe au dessus.
La seconde partie du canyon est plus encaissée, cette fois, plus de soleil et je commence sérieusement à avoir froid aux pieds, malgré la combi étanche et les grosses chaussettes. Par endroit, il y a une banquise sur l’eau, et pour faire le passage il faut faire le brise glace, on s’allonge sur la glace, la glace se brise sous notre poids, on avance de 1m, on s’allonge de nouveau, etc…
La dernière cascade arrive enfin, le temps de me réchauffer les mains avec une chaufferette salvatrice et sortir l’appareil photo et c’est partie pour la dernière séance.
L’avantage de prendre des photos, c’est que l’esprit ce concentre sur la prise de vue et en oublie le froid au niveau des extrémités…(il faut enlever les gants pour prendre les photos…et mes pieds sont bien mouillés (entrée d’eau dans la combinaison étanche..).
Il est alors temps de sortir du canyon pour rejoindre la route, mais pour ca il faut faire la trace dans 50 cm de neige fraiche sur plus de 100m de dénivelé, au moins ca réchauffe un peu avant de rejoindre la voiture pour se changer à poil, à l’ombre, par -5°c …
Le film de cette sortie.
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10h00, on se retrouve donc à 6 à l’entrée de la Tête Sauvage. On espère bien profiter de cette cavité sans trop galérer pour l’itinéraire. Les puits sont descendus à un rythme tranquille
et on retrouve tous derrière le fameux soupirail après un petit bain forcé…
A partir de maintenant, il faut essayer de bien gérer l’itinéraire pour ne pas trop perdre de temps par de longues recherches fatigantes et inutiles.
Comme les souvenirs de mes 7 précédentes traversées sont encore bons et que le balisage est largement suffisant, ce n’est pas trop difficile d’arriver à la salle Monique (ou camp des anciens) pour la première partie de notre ramassage de poubelles.
On enchaîne la salle Susse, pour se retrouver au départ du fameux grand canyon, ou rivière du spéléo Club de Paris. C’est le moment de re-sortir l’appareil photo!
Pendant plus d’1.5km les pieds, voir les cuisses, dans l’eau, on profite de ce paysage humide. La progression est entrecoupée de temps en temps par quelques séances photos.
Cantalou en profite pour aimer sa Scurion que je lui ai prêtée, lui qui voulait faire la traversée à l’acéto….
Il est temps de sortir du grand canyon vers la galerie des marmites et de la grande corniche pour se réchauffer un peu.
Le tunnel du vent se passe le plus vite possible pour ne pas avoir trop froid, je n’ai pas le temps de sortir l’appareil photo…
Après une pause bien méritée pour manger et se changer, il est l’heure de partir pour l’enchaînement des grandes salles, sans oublier de finir de remplir nos kits des poubelles qui traînent ici et là.
Pause obligatoire à la salle Lépineux pour la photo traditionnelle.
Puis c’est reparti avec quelques petites pauses pour profiter des volumes!
Les salles mythiques s’enchaînent, on ne se perd pas, on ”fonce”….
Queffelec, Adélie, Chevalier puis Verna, on se sent toujours très petit au milieu de ces immenses vides souterrains.
Vu l’horaire tardif, nous n’avons pas la chance de profiter de l’éclairage de la salle de la Verna, mais on se consolera avec la chaleur extérieure et les dernières lueurs du jour, il est 22h00. Grace aux navettes réalisées par Dominique et Philippe, on se retrouve rapidement devant un bon apéro pour finir notre journée…
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Nous revoilà donc à 4 pour refaire cette traversée et tenter de faire quelques photos de ce superbe puits de 80m. La neige est présente, comme il y a 21 ans, mais seulement 2 ou 3 cm depuis le terminus de la piste.
C est également l’occasion de tester mon nouvel appareil photo, un fuji XT3, tout neuf, sans aucune rayure ou trace de boue! (Jusqu’à ce soir….)
Une fois sous terre, on arrive rapidement au sommet du grand puits, et Jean-Paul, comme il y a 21 ans, descend le premier.
Pour les photos, j’ai prévu des radios pour communiquer entre nous, mais l’acoustique du puits est très bonne, si bien que de la base au sommet, on se comprend facilement sans les radios.
Pas de première pour Jean-Paul cette fois ci, mais un gros flash au cul pour les photos.
Claude descend à son tour, je les rejoints, et on tente une photo depuis le bas du puits, avec Cyril au milieu.
On se retrouve tous en bas de ce puits, et Jean-Paul nous abandonne pour la traversée à cause d’une étroiture dans le méandre suivant. On descend le puits de 10m et on se retrouve alors dans le réseau Fanny du gouffre des deux Jean-Paul. J’en avais un mauvais souvenir, et c’est normal, au vu du ramping de fakir à faire…
Sur 30 m, on rampe sur un sol bien anguleux composé de petit cailloux figés ici depuis des millénaires. Les genoux et les coudes souffrent! Une petite chambre permet de sortir le matériel photo pour un ou deux clichés, puis se présente alors une nouvelle étroiture, dont je ne me souvenais pas…Malgré le courant d’air indiquant le passage, Cyrille décide de retrouver Jean-Paul. Pour passer cette étroiture, faut quand même se contorsionner et forcer un peu en poussant le casque devant. Et comme Claude est sympa avec moi, il a oublié son kit avant l’étroiture, ce qui me permet d’apprécier deux nouvelles fois cette étroiture (cette fois ci, dans 20 ans, je m’en rappellerai!).
Avec Claude, on se retrouve rapidement devant la dernière étroiture de la journée, la chatière Souques, ce qui veut dire que l’on va commencer la remonté.
Tout le monde se retrouve dehors sous le soleil radieux de la Coume aprés une petite mais belle balade photographique.
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Depuis 33 ans, j’y suis retourné de nombreuses fois, mais aujourd’hui, me voilà de retour dans la galerie Aranzadi pour une petite séance photo avec Mickey et Louis. Puisque c’est équipé par Amalgame, on remonte les puits arrosés du Maria Dolores pour tenter de réaliser quelques photos dans une ambiance aquatique.
C’est l’occasion rêver de tester en conditions réelles mon bricolage pour rendre étanche le flah Godox AD360.
Après s’être bien mouillé, on va tenter de se ”réchauffer” en faisant quelques photos dans la galerie Aranzandi, lieu unique de la Pierre St Martin, avec ses montagnes d’argile.
Entre deux photos, Louis et Mickey en profitent quand même pour disserter sur la géologie de cet endroit
Au lieu de se réchauffer, on se refroidit sur les poses longues pour les photos, mais Mickey et Louis ne brochent pas, et sont toujours partant pour une dernière photo.
Il est alors temps de redescendre au fond de la Verna pour finir cette journée et ce réchauffer pour de bon!
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Dès le départ, le ton est donné, en moins de 2 km, on se tape plus de 300m de dénivelé par une piste facile qui mène à la chapelle et au calvaire d’Arantze.
A partir de là, on quitte la piste pour un joli single qui passe au sud de l’Erebi pour rejoindre le col des trois croix (où il n’y a pas de croix…). On récupère alors la piste pour monter doucement vers le col de Zuharreteco. Après la pause bien méritée (ça monte, ça monte…), on file vers les crêtes du mont Bizkayluze, clou du spectacle avec une vue imprenable sur la Rhune et l’Artzamendi.
Pour monter sur la crête, depuis le col, on peut y aller soit directement dans la pente, soit on fait le tour par un sentier qui passe à l’est et permet de monter par le sud (plus facile).
A partir de là, il ne reste plus qu’à descendre vers Ainhoa en passant par le Gorospil et les crêtes de Haizagerri par un joli sentier balisé avec quelques passages techniques qui nécessitent de descendre du vélo.
Mais rien de vaut un petit film pour présenter ce tour à faire et a refaire!
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On va voir rapidement les première bases pour compléter soi-même ces cartes. En priorité, il faut avoir un tracé GPX (fait grâce à LocusMap). Ce tracé permet de localiser les chemins où l’on est passé, ainsi que les points GPS que l’on a pu relever pendant ce trajet. Il faut faire attention à la précision de l’enregistrement. Un smartphone dans la poche du pantalon sera bien moins précis que si on le tient à la main! On transfère ensuite ce fichier GPX sur l’ordinateur.
On se connecte alors au site : https://www.openstreetmap.org et on crée un compte pour pouvoir modifier les cartes. Une fois que c’est fait, on importe notre trace GPS en cliquant sur ”trace GPS” en haut de la carte.
On peut voir les dernières traces publiques qui ont été téléchargées ou ses propres traces (si on en a déjà ).
On choisi envoyer une trace, et l’onglet suivant s’ouvre et on choisi notre trace à envoyer.
Quelques secondes après, cette trace apparaît dans l’onglet ”traces GPS / Voir mes traces”.
Au niveau de notre trace, on choisi alors ”Modifier”, et miracle, notre tracé GPX apparaît en violet sur un fond de carte où l’on peut modifier les tracés.
En France, en fond de carte, on peut avoir les photos satellite de l’IGN, le cadastre, mais également d’autre fond de carte en cliquant sur le petit onglet ”carte” qui se trouve à droite.
Une fois que l’on a choisi son fond de carte qui nous convient le mieux, on peut commencer a rajouter ce que l’on veut sur la carte. On se sert de l’onglet supérieur ”ajouter un élément”.
Et on choisi ce que l’on veut mettre.
–Point : Pour mettre les noms de lieux ou bien des points caractéristiques.
–Ligne : Pour mettre des routes, chemins, cours d’eau, bordures de végétations.
–Polygone : Pour mettre des bâtiments, des lacs.
Une barre latérale sur la gauche permet de choisir l’attribut de l’objet que l’on vient de rajouter. C’est assez intuitif et facile, mais en cas de doute il faut faire attention de ne pas faire n’importe quoi d’irrémédiable…
Une fois que les modifications ont été faites, on sauvegarde. Lors de l’enregistrement, Openstreet Map peut signaler des problèmes qu’il faudra alors résoudre (jonction de chemins, chemin qui passe sur un cour d’eau sans pont, bâtiment sur un lac, etc…).
Les modifications apparaîtront sur les cartes en ligne Openstreet Map (OSM) en fonction des fréquences des mises à jour. Sur OSM Classic, la mise à jour est presque instantanée. Sur OSM OpenCycleMap et OSM Outdoors, cela prend en général une semaine (penser à effacer le cache de la carte sur LocusMap), et sur OSM Open TopoMap, plusieurs mois…
Les données sont prises en compte dans les 24h par BRouter Offline Navigation.
On se prend rapidement au jeu, si bien que depuis environ un an, je dois être à plus de 100km de pistes et chemins rajoutés autour de chez moi. Chaque sortie en course à pied, VTT, balade du chien, en montagne, etc est un bon moyen de mettre à jour et compléter le secteur.
Pour compléter ce petit tuto :
www.learnosm.org/fr : Pour bien débuter
www.wiki.openstreetmap.org : Le guide du débutant
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