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Finalement, Jean-Paul se fait mal à une épaule quelques jours avant et on se retrouve à deux. On choisit l’option photo en passant par le gouffre Raymonde et »le tunnel » qui a permis la jonction entre ces deux gouffres au niveau du réseau de la Couverture Écossaise et la galerie Bugat. J’en profite pour tester le conditionnement de mon matériel photo et la solidité de la tête de Sylvestre….Les deux sont heureusement très solides et indemnes!
Après avoir doublé une équipe du Creps de Vallon qui vient brocher deux puits, et qui en profite aussi pour tester la solidité de la tête de Sylvestre, on file vers la rivière bleue pour essayer de faire quelques clichés des concrétions qui ont données ce nom à la rivière.
La rivière ne coule pas et il n’y a que deux zones où l’on trouve ces fameuses concrétions et qui méritent un arrêt photo.
Dès que l’on est dans le courant d’air, on se les caille sévère! La pause repas est très brève et on continu les photos.
Le réseau de la Couverture Écossaise, outre le fait de posséder quelques passages bien étroits et bien chiant avec un kit photo (et sans kit aussi…), présente quand même un passage unique dans un énorme remplissage.
A une époque lointaine, la galerie a été complétement obstruée par un remplissage de cailloux et de sable. Un écoulement plus récent a recreusé la base de ce remplissage pour laisser finalement un passage de 1 mètre sur 1 mètre pour les spéléos!
Forcément, dans ce passage étroit, le courant d’air est violent mais Sylvestre reste stoïque pour les photos.
Retour vers la surface en recroissant les brocheurs du Creps et en s’arrêtant un peu dans la galerie Bugat pour une dernière séance photo.
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Quelque soit le matériel photo employé(Canon, Nikon ou Pentax dans mon cas), il faut pouvoir le transporter sans qu’il ne subisse les affres du milieu souterrain. Choc, humidité et froid en sont les principaux. Ne voulant pas dépendre de porteur, je me débrouille donc pour le transporter seul (Je suis comme ça l’unique responsable si du matériel photo est abîmé). Mon matériel est donc choisi pour avoir le meilleur compromis entre la qualité, la robustesse et la compacité.
L’appareil photo, un réflex Pentax K5 (tropicalisé et relativement compact pour un reflex), est protégé dans une petite valise étanche de type Pelicase, dans laquelle je peux également mettre un flash, une cellule radio de déclenchement Yongnuo et quelques chiffons pour nettoyer l’appareil. Ça rentre juste, et il est plus pratique et rapide de sortir l’appareil de cette valise que d’un bidon étanche.
Pour les flashs, un bidon étanche de 6 litres fait parfaitement l’affaire et permet d’en loger 4 avec en plus un peu de petit matériel (pied de flash) et quelques chiffons pour s’essuyer les mains. L’intérieur du bidon est protégé avec un bout de matelas mousse.
Pour le transport, j ai longtemps hésité entre le kit normal du spéléo, pratique et compact, mais souvent trop petit pour loger l’ensemble de mon matériel, et le kit bag sherpa, trop volumineux pour passer facilement partout sous terre.
Mais depuis un an, j’utilise un kit de la marque Aventure Verticale. Il s’agit du modèle kit bag 40L AVSP36. Son volume important supérieur à un kit de spéléo normal me permet de rentrer et de sortir rapidement tout mon matériel, avec en plus de la place pour glisser aisément un pied photo et un monopode sur le coté, et mon mini kit avec le matériel d’attente et la nourriture. Si l’on veut on peut remplacer le mini kit par un bidon étanche de 3 litres pour transporter encore du matériel fragile (flash, objectif, etc…).
Les bretelles matelassées du kit permettent de l’utiliser facilement pour le transport du matériel photo et de son matériel perso lors des longues marches d’approches, mais également sous terre.
Au cas où il faut transporter encore plus lors des marches d’approche (ça arrive malheureusement), je glisse le kit photo dans son grand frère, muni d’une ceinture matelassé et confortable et sur lequel j’ai adapté une sangle de poitrine, et roule ma poule…
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Grace à Louis, un des maîtres des lieux, et avec l’aide de Jean-Paul, nous allons parcourir une ancienne mine de plomb-zinc dans les Hautes-Pyrénées pour une belle séance photo pleine de découvertes pour les simples spéléos que nous sommes.
Au moins, pour l’accès, on n’est pas dépaysé, de gros sacs sur le dos, un paysage sublime quand les nuages veulent se pousser un peu et cerise sur le gâteau, rencontre avec des traces d’ours.
Mais une fois sous terre, on est quand même assez déboussolé et il faut rester vigilant en permanence pour essayer de comprendre où l’on se trouve, sur quoi on marche, où l’on va et enfin comment ça tient….
Heureusement, Louis connait parfaitement les lieux et nous explique l’historique de cette exploitation et le pourquoi du comment de tous ces objets que l’on a jamais vu dans des grottes!
A chaque pas nous avons une nouvelle surprise, des galeries qui partent dans tous les sens, des volumes important, des couleurs éblouissantes,…..
Au bout d’une heure, avec Jean-Paul, on ne sait plus où l’on se trouve, on hésite à jouer au petit poucet pour retrouver notre chemin, mais on continu quand même à sortir l’appareil photo pour immortaliser certains endroits.
On pense aussi forcément aux mineurs qui passaient leurs journées à creuser dans des conditions très difficiles au début du 20ème siècle, bien loin des 35 heures et des 5 semaines de congés payés…..
On découvre à de nombreux endroits d’est traces de concrétions blanches, mais le test de l’acide nous confirme que ce n’est pas de la calcite que nous connaissons bien sous terre.
Merci particulier à Aventure Verticale et Scurion pour l’aide matériel.
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La sortie à pour but faire quelques vérifications de la topographie et également de réaliser quelques photos avec Jean-Paul, Sylvestre et Mathieu.
La première partie de la cavité est assez verticale avec une série de 5-6 puits, ce qui permet quelque clichés sympa de puits.
Une fois passé le puits de l’Islam, c’est la grande balade dans le très beau réseau Larregola avec des galeries de belles proportions.
Mais pour couper ses belles galeries, il existe quelques passages étroits, mais jamais bien difficiles!
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Le tournage se déroule sur deux jours à la fin du mois de décembre avec une météo assez clémente permettant un accès à la Verna et le vol du drone dans les gorges de Kakouetta.
Pour le tournage dans la Verna, en plus de Jeff, le mettre des lieux et fil rouge de la séquence, nous sommes 3 avec Frédo et Mathieu pour donner un coup de main à l’équipe, entre le portage et la sécurité.
Le tournage fait le tour de la salle de Verna pour avoir différents points de vues.
De nombreuses séquences sont tournées avec un drone par l’équipe de Aérial fullmotion.
Le lendemain, le tournage se déroule dans les gorges de Kakouetta dans une ambiance un peu brumeuse.
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Comme c’est souvent le cas dans les Pyrénées, on se retrouve sur les traces de l’impératrice Eugénie qui est venue visiter cette grotte en 1854 lors d’une cure dans la vallée
Mais c’est peut-être ici, qu’en 1866, le jeune Edouard Alfred MARTEL (père de la spéléologie moderne) a attrapé le virus de l’exploration souterraine. En effet, alors qu’il était seulement âgé de 7 ans, ses parents l’amenèrent dans cette grotte pour effectuer la visite touristique.
On trouve encore de nombreux vestiges de cette période, où les visites se faisaient sur des plateforme en bois au dessus de l’eau tumultueuse du torrent.
Dans les années 1950, le cours d’eau de la grotte est capté à 800 mètres de l’entrée et 150 mètres plus haut pour la production d’électricité. Si bien que depuis, cette partie de la cavité est beaucoup plus calme.
Les vestiges des passerelles en bois tiennent encore un peu, mais pour combien de temps? La progression dessus est totalement à proscrire tellement c’est glissant et branlant….
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]]>Depuis plus de 2300 ans, ce sommet est exploité pour son fer. Grace au chemin de mines, on peut découvrir facilement ce patrimoine oublié du pays basque.
Quelques mines sont faciles d’accès et rapidement bouchées. Il en existe d’autre, beaucoup plus grandes, mais l’accès n’est pas vraiment pas aisé et la progression à l’intérieure est dangereuse à cause des éboulement possibles et des puits perforant les galeries.
L’explorations de ces mines demande un minimum de matériel adéquat et d’un bonne connaissance en progression souterraine.
Voici un petit film de 5 minutes qui explore ce massif en surface mais aussi en profondeur dans une des grandes mines du massif.
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]]>J’ai eu la chance de le découvrir pour la première fois à l’age de 16 ans grâce à une sortie du Spéléo Club de la Haute Vienne sur la Pierre St Martin.
Depuis, la Pierre St Martin est et restera pour toujours un endroit magique, source de bonheur et d’exploration spéléologique.
Il y a 20 ans, j’avais fait un premier bivouac au sommet du pic d’Anie, avec comme seul compère, le fabuleux livre de Jean-François PERNETTE, Rivières sous la Pierre.
Cette fois ci, je suis un peu plus chargé, et je n’ai pas la place de prendre Rivière sous la Pierre. Car en plus de bivouaquer, le but est d’essayer de faire un film avec drone et Cie.
Voici le résultat!
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Pour passer un bon week-end, rien ne vaut un bon logement, et là, on est servi puisque nous sommes au moulin du Bourgnou dans la vallée de L’ouysse, idéalement placé pour faire de spéléo ou de la plongée-spéléo, avec en plus un grand local pour stocker le matos.
A combe nègre, nous sommes guidé par le maître des lieux, Thomas. C’est grâce à lui et Hervé Vilatte, que le forage à pu se faire avec la pose d’une balise entre les siphon 6 et 7, et le creusement. A voir sur le site de Thomas, les péripéties de ce creusement.
Avant de partir, Thomas nous annonce : »On se mouille que jusqu’au niveaux de couilles! », donc certains ne prennent pas de combi néoprène….
30 mètres de puits, et nous voilà les pieds dans l’eau pour se promener et faire de la photo dans cette belle cavité.
Le parcours est très varié, méandres, conduites forcées, ramping, siphons, baignades et casse croûte vont se succéder tout au long de la sortie.
Outre la beauté de la galerie, à retenir de cette ballade pour la prochaine fois, Thomas porte les couilles au niveau des amygdales…puisque l’on se mouille copieusement à plusieurs endroits, dont une voûte mouillant où seule la tête reste au sec….
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