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En cette mi novembre, même si la météo du soir n’est pas terrible pour profiter du paysage, entre deux nuages, le drone peut décoller pour essayer prendre quelques photos.
Si la météo le veut bien, c’est par contre l’endroit idéal pour y bivouaquer et passer une belle nuit sous les étoiles.
Ce soir là, la météo devient clémente, les nuages et le brouillard se déchirent pour profiter d’une très belle nuit au clair de lune, mais froide….
A partir de 1 heure du matin, la lune a disparu sous l’horizon, ce qui permet de profiter pleinement de la voie lactée.
Au réveil, c’est le grand beau temps pour profiter du lever du soleil au dessus du massif de la Pierre St Martin.
Et c’est également le moment de sortir le drone pour immortaliser ce bel endroit, loin des tracas de notre vie quotidienne!
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Cet aménagent est le fruit de quelques recherches sur internet et de pas mal d’heures de conception pour tenir compte de mon cahier des charges :-
– Un couchage une place facilement escamotable, en gardant la possibilité de l’utiliser le dokker en 5 places.
– Possibilité de mettre un VTT.
– Stockage de beaucoup de matériel sous le lit.
– Peu cher à construire.
Après, il faut savoir un peu souder le métal (je ne suis pas du tout pro…) et travailler le bois, mais rien d’insurmontable.
Premier aménagement, fixer des films solaires bien opaques sur les vitres arrières pour ne pas être vu.
L’installation dans le coffre, le dokker est toujours en 5 places.
La tablette de droite est rabattable pour pouvoir transporté un VTT en rabattant le fauteuil devant.
Tout est construit en tube carré de 2.5cm, les planches de bois, c’est du contreplaqué de 18mm.
On peut rouler dans cette configuration puisque ca ne dépasse pas du siège avant.
Si je ne peux pas dormir en diagonale parce qu’il y a le vélo, je mets une petite rallonge de 30 cm qui s’adapte dans les tubes carrés.
Pour bien dormir, les vitres arrières sont obturées par des bout de matelas mousse préalablement découpées de chez décathlon et maintenues dans la rainure entre la carrosserie et les vitres ou par des petites cales en plastique.
Le soucis du Dokker, c’est sa double porte de coffre. Un hayon c’est mieux pour se protéger de la pluie! Alors une bâche légère de genre tarp de 2.5m par 2.5m poser dessus fait bien l’affaire.
Mes aimants viennent d’une récupération, mais on peut les trouver sur aliexpres .
Et pour finir, vu que j’ai installé l’attelage, j’ai profité du 12v pour installer deux prises USB dan le coffre pour avoir un éclairage et une prise pour charger le smartphone ou le matos photo/vidéo.
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]]>5h15, début de la marche d’approche de nuit, c’est parti pour 1000 m de dénivelé à la Scurion pour rejoindre au bivouac l’équipe qui est partie la veille.
A 7h00, après avoir fait peur à quelques chevreuils, chiens et autres bestioles, je tombe sur le bivouac endormi. Lucie, Samuel, Yohan, Sébastien et Bastien se réveillent doucement. La veille ils ont fait l’approche (1500m de dénivelé), bu des Ricards au cayolar de Yèse et fait la descente de la partie supérieure du canyon.
Le temps de se réveiller, de rallumer le feu, de déjeuner, etc, etc, à 08h45, on attaque la descente de la partie médiane du canyon.
Le canyon n’est jamais trop encaissé, mais les échappatoires sont peux évidents, si bien qu’on est parti pour quelques heures dans ce décor minéral où l’eau à mis à jour la géologie mouvementée des Pyrénées.
Les petits rappels se succèdent sur des équipements mis en place récemment par la commission canyon du CDS 64.
On progresse à un bon rythme, mais ce canyon est tellement grand, que l’on a l’impression de ne pas avancer. Entre les zones verticales, il y a quelques zones de progressions peu agréables et bien glissantes. Heureusement, il y a toujours un bel endroit pour nous encourager à continuer la progression.
Pause casse croute au soleil qui fait son apparition dans le canyon seulement aux alentours de 13h00 et c’est reparti sous le houlette de Samuel, le Gentil Organisateur.
Peu avant 16h00, et après 800 m de progression horizontale, on arrive enfin à la passerelle qui marque la fin de la partie médiane et le début de la partie finale. Par la passerelle, on est à 20 minutes de voitures, par le canyon, à 3 heures….La décision est vite prise, on continue, même si les premiers 1000 mètres sont vraiment chiant en progression.
Mais après, les obstacles s’enchainent assez rapidement.
Par contre, dans cette partie là, le rééquipement n’a pas encore été fait, et c’est la surprise à chaque obstacle pour installer le rappel…
On arrive ainsi à la dernière cascade qui doit se passer en toboggan (on n’a pas essayé).
Et quelques minutes plus tard, on arrive enfin à Etsaut, après 1000 mètres de descente et 10 heures dans le canyon pour ma part. Le reste de l’équipe, c’est 1300m de descente et deux jours….
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Ce sommet culmine à seulement seulement 959m, et l’accès est plutôt raide, surtout par la crête nord.
Dans ma quête de beaux bivouacs en sommet dans le Pays-Basque et le Béarn, ce sommet est vraiment indiscutable pour la vue qu’il offre depuis la Rhune jusqu’au crêtes d’Iparla. Après une rude montée sous la canicule de ce mois d’aout, le sommet apparait comme un havre de paix et de repos.
Comme chaque fois que la météo le permet, le coucher de soleil est un moment de plénitude et un spectacle grandiose.
Mais la particularité cette fois ci, ce sont les conditions nocturne qui sont idéales pour s’essayer la photo de la voie lacté.
Avec l’aide de ma lampe Scurion judicieusement placée dans mon abris de bivouac, et quelques essais, j’arrive enfin à immortaliser cette rencontre avec les étoiles et l’univers.
On n’a pas envie de se coucher pour continuer à profiter du spectacle toute la nuit, loin du monde et de la foule, et pourtant si proche.
Mais il faut penser au spectacle du lendemain, avec le lever du soleil! Le drone permet en plus d’avoir des points de vue intéressants pour figer l’instant.
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Finalement, Jean-Paul se fait mal à une épaule quelques jours avant et on se retrouve à deux. On choisit l’option photo en passant par le gouffre Raymonde et ”le tunnel” qui a permis la jonction entre ces deux gouffres au niveau du réseau de la Couverture Écossaise et la galerie Bugat. J’en profite pour tester le conditionnement de mon matériel photo et la solidité de la tête de Sylvestre….Les deux sont heureusement très solides et indemnes!
Après avoir doublé une équipe du Creps de Vallon qui vient brocher deux puits, et qui en profite aussi pour tester la solidité de la tête de Sylvestre, on file vers la rivière bleue pour essayer de faire quelques clichés des concrétions qui ont données ce nom à la rivière.
La rivière ne coule pas et il n’y a que deux zones où l’on trouve ces fameuses concrétions et qui méritent un arrêt photo.
Dès que l’on est dans le courant d’air, on se les caille sévère! La pause repas est très brève et on continu les photos.
Le réseau de la Couverture Écossaise, outre le fait de posséder quelques passages bien étroits et bien chiant avec un kit photo (et sans kit aussi…), présente quand même un passage unique dans un énorme remplissage.
A une époque lointaine, la galerie a été complétement obstruée par un remplissage de cailloux et de sable. Un écoulement plus récent a recreusé la base de ce remplissage pour laisser finalement un passage de 1 mètre sur 1 mètre pour les spéléos!
Forcément, dans ce passage étroit, le courant d’air est violent mais Sylvestre reste stoïque pour les photos.
Retour vers la surface en recroissant les brocheurs du Creps et en s’arrêtant un peu dans la galerie Bugat pour une dernière séance photo.
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Quelque soit le matériel photo employé(Canon, Nikon ou Pentax dans mon cas), il faut pouvoir le transporter sans qu’il ne subisse les affres du milieu souterrain. Choc, humidité et froid en sont les principaux. Ne voulant pas dépendre de porteur, je me débrouille donc pour le transporter seul (Je suis comme ça l’unique responsable si du matériel photo est abîmé). Mon matériel est donc choisi pour avoir le meilleur compromis entre la qualité, la robustesse et la compacité.
L’appareil photo, un réflex Pentax K5 (tropicalisé et relativement compact pour un reflex), est protégé dans une petite valise étanche de type Pelicase, dans laquelle je peux également mettre un flash, une cellule radio de déclenchement Yongnuo et quelques chiffons pour nettoyer l’appareil. Ça rentre juste, et il est plus pratique et rapide de sortir l’appareil de cette valise que d’un bidon étanche.
Pour les flashs, un bidon étanche de 6 litres fait parfaitement l’affaire et permet d’en loger 4 avec en plus un peu de petit matériel (pied de flash) et quelques chiffons pour s’essuyer les mains. L’intérieur du bidon est protégé avec un bout de matelas mousse.
Pour le transport, j ai longtemps hésité entre le kit normal du spéléo, pratique et compact, mais souvent trop petit pour loger l’ensemble de mon matériel, et le kit bag sherpa, trop volumineux pour passer facilement partout sous terre.
Mais depuis un an, j’utilise un kit de la marque Aventure Verticale. Il s’agit du modèle kit bag 40L AVSP36. Son volume important supérieur à un kit de spéléo normal me permet de rentrer et de sortir rapidement tout mon matériel, avec en plus de la place pour glisser aisément un pied photo et un monopode sur le coté, et mon mini kit avec le matériel d’attente et la nourriture. Si l’on veut on peut remplacer le mini kit par un bidon étanche de 3 litres pour transporter encore du matériel fragile (flash, objectif, etc…).
Les bretelles matelassées du kit permettent de l’utiliser facilement pour le transport du matériel photo et de son matériel perso lors des longues marches d’approches, mais également sous terre.
Au cas où il faut transporter encore plus lors des marches d’approche (ça arrive malheureusement), je glisse le kit photo dans son grand frère, muni d’une ceinture matelassé et confortable et sur lequel j’ai adapté une sangle de poitrine, et roule ma poule…
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Grace à Louis, un des maîtres des lieux, et avec l’aide de Jean-Paul, nous allons parcourir une ancienne mine de plomb-zinc dans les Hautes-Pyrénées pour une belle séance photo pleine de découvertes pour les simples spéléos que nous sommes.
Au moins, pour l’accès, on n’est pas dépaysé, de gros sacs sur le dos, un paysage sublime quand les nuages veulent se pousser un peu et cerise sur le gâteau, rencontre avec des traces d’ours.
Mais une fois sous terre, on est quand même assez déboussolé et il faut rester vigilant en permanence pour essayer de comprendre où l’on se trouve, sur quoi on marche, où l’on va et enfin comment ça tient….
Heureusement, Louis connait parfaitement les lieux et nous explique l’historique de cette exploitation et le pourquoi du comment de tous ces objets que l’on a jamais vu dans des grottes!
A chaque pas nous avons une nouvelle surprise, des galeries qui partent dans tous les sens, des volumes important, des couleurs éblouissantes,…..
Au bout d’une heure, avec Jean-Paul, on ne sait plus où l’on se trouve, on hésite à jouer au petit poucet pour retrouver notre chemin, mais on continu quand même à sortir l’appareil photo pour immortaliser certains endroits.
On pense aussi forcément aux mineurs qui passaient leurs journées à creuser dans des conditions très difficiles au début du 20ème siècle, bien loin des 35 heures et des 5 semaines de congés payés…..
On découvre à de nombreux endroits d’est traces de concrétions blanches, mais le test de l’acide nous confirme que ce n’est pas de la calcite que nous connaissons bien sous terre.
Merci particulier à Aventure Verticale et Scurion pour l’aide matériel.
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La sortie à pour but faire quelques vérifications de la topographie et également de réaliser quelques photos avec Jean-Paul, Sylvestre et Mathieu.
La première partie de la cavité est assez verticale avec une série de 5-6 puits, ce qui permet quelque clichés sympa de puits.
Une fois passé le puits de l’Islam, c’est la grande balade dans le très beau réseau Larregola avec des galeries de belles proportions.
Mais pour couper ses belles galeries, il existe quelques passages étroits, mais jamais bien difficiles!
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Avec Mathieu, cela faisait longtemps que nous voulions réaliser cette randonné, dans le but de prendre du plaisir mais également pour faire de belles images.
Si bien que nous sommes assez chargés, entre la tente, les appareils photos et le drone Phantom 3 pro, qui contrairement aux nouveaux drones, est assez volumineux.
Mais le jeu en valait la chandelle, un grand beau temps, une bonne neige, pas de vent pour faire voler le drone et une température clémente (sauf la nuit..).
Le repas du soir se fera à l’abri du vent et à la lumière de l’éclairage solaire dans la salle du refuge d’Ayous.
Afin de réaliser les prises de vues aériennes avec le drone, il faut faire attention de ne pas survoler l’espace du parc national des Pyrénées, où son utilisation est interdite.
J’ai beau avoir proposer à Mathieu de monter sa tente carrément au milieu du lac Gentau pour réaliser ”la photo” de l’année, il n’en fera rien.
Mathieu dormira seul sous la tente, car pour ma part je préfère lâchement le dur du refuge d’Ayous.
Et pour bien finir ces deux jours, une petite vidéo était indispensable!
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Le tournage se déroule sur deux jours à la fin du mois de décembre avec une météo assez clémente permettant un accès à la Verna et le vol du drone dans les gorges de Kakouetta.
Pour le tournage dans la Verna, en plus de Jeff, le mettre des lieux et fil rouge de la séquence, nous sommes 3 avec Frédo et Mathieu pour donner un coup de main à l’équipe, entre le portage et la sécurité.
Le tournage fait le tour de la salle de Verna pour avoir différents points de vues.
De nombreuses séquences sont tournées avec un drone par l’équipe de Aérial fullmotion.
Le lendemain, le tournage se déroule dans les gorges de Kakouetta dans une ambiance un peu brumeuse.
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