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Les possibilités de randonnées à pieds sont nombreuses avec les falaises des Penas de Ichusi ou bien l’Irubelagaskoa. En VTT, il y a un parcours évident, remonter la piste qui longe le Bastan, qui traverse le village abandonné d’Irazakun, et qui rejoint la route qui mène au Gorramendi, facilement reconnaissable par ses antennes.
Pour le retour, de belles pistes permettent de rejoindre le col des Veaux par le col de Gorospil.
Une fois au col des Veaux, j’ai choisi de faire le tour du pic Iguzki pour avoir une belle vue sur les Penas de Ichusi. La vue se mérite car la piste est vraiment raide à deux endroit, et il faut pousser un peu.
Aprés 44 km et 1400 m de dénivelé, retour à la voiture par une belle descente pour se reposer un peu, mais finalement, quel plaisir de parcourir ce magnifique endroit caché du Pays-Basque.
En images, la sortie complète grâce à 3 gopros judicieusement placées.
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Le choix se porte sur un parcours balisé de la vallée d’Ossau, le tour du Séserite. Ce parcours se fait normalement en partant du port de Castet, mais je préfère partir du village de Castet, 400m plus bas en altitude.
Le parcours est très bien balisé, même si à deux reprises, entre le col de Jaut et le Coigt de Jaut, j’étais bien content d’avoir préparer le parcours sur Oruxmaps.
Et pour bien en profiter, j’ai réalisé un petit film pour retracer ce beau parcours.
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Pour ce raid, j’ai pris le parti de le faire en ”touriste”, c’est à dire, je ne m’occupe pas de l’orientation, uniquement de mes Gopro pour essayer de réaliser un film au plus près de l’épreuve.
On passera sur les péripéties, du genre je tombe du canoë…
….ou alors je crève sur la plage, et on n’a rien pour réparer….
…sans oublier une CO urbaine en ville où l’on se mouille les pieds!
Mais comme un petit film vaut mieux qu’un long discours…
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Les lampes Scurion sont solides, étanches, puissantes et facilement programmables pour adapter la puissance (avec les deux faisceaux large et étroit) de l’éclairage, mais le problème qui se posait, c’était l’enchaînement et la longueur des épreuves.
Dans le meilleur des cas, lors de ce raid, c’est 3 heures à courir en montagne, 3 heures de VTT, une course d’orientation de 1h30 dans les bois et encore 2 heures de VTT, soit plus de 9 heures d’utilisation dans des conditions différentes de puissances comme de fixation (tête, torse, VTT), sans compter sur la présence possible de pluie (on est au pays-basque…).
Les fixations d’origines sont très solides, mais pour passer du bandeau souple à mettre sur la tête à la fixation sur le guidon du vélo, il faut un tournevis pour enlever et remettre deux vis. Ça se fait tranquillement à la maison, mais en course, où chaque minute est comptée, ce n’est pas possible.
Alors il a fallut innover un peu. A partir du matériel d’origine Scurion et des fixations pour les caméra Gopro que je possédais, j’ai réalisé un montage simple pour pour pouvoir fixer facilement et rapidement la frontale sur n’importe quel support.
Grace à deux petites barres alu de 2 cm de large, pliée et percée au bon endroit, on fait un adaptateur pour tout les montages Gopro.
A partir de ce moment, la frontale se clip en 2 secondes sur n’importe quel support prévu à cet effet.
Pour le trail de nuit, la frontale est fixée sur la poitrine grâce à un baudrier élastique pour Gopro et l’accus dans le dos. Ça permet de laisser la tête libre et légère. On éclaire quelques mètres devant en mode lumière d’ambiance sur les chemins, et lorsque l’on cherche le cheminement ou une balise, un bon coup de spot permet de voir à plus de 50 mètres sans soucis.
Pour le VTT, la frontale est fixée grâce au support vélo d’origine Scurion, juste à côté de la main droite. Il est alors très facile d modifier la puissance de l’éclairage tout en roulant. En montée ou quand on pousse le VTT (si, si, on pousse…),en un clic on baisse l’intensité, et après en fonction de la vitesse de déplacement, on adapte la puissance. L’accus est fixé à l’avant du cadre grâce dans une petite sacoche acheté chez Décathlon. Une petite frontale est fixée sur le casque pour lire la carte. Comme la Scurion est non magnétique, la boussole peut être posé à côté sans crainte de perturbation.
Et pour la course d’orientation, le bandeau d’origine Scurion est modifié. J’ai enlevé l’attache d’origine (3 rivets) pour coller à la place un support pour Gopro (adhésif 3M, ca ne bouge pas!). En pleine puissance, le faisceau étroit qui porte à plus de 50 mètres a permis de trouver des balises de très loin, en nous évitant des recherches bien plus longues!
Finalement, avec une Scurion 700 (la moins puissante de la gamme), en gérant bien mon éclairage, j’ai allègrement tenu toute la nuit alors que les copains ont du, soit changer de frontale, soit changer les accus, soit finir en n’y voyant plus trop! En plus, l’indicateur de batterie permettait entre chaque épreuve de vérifier ou j’en étais au niveau accus.
La Scurion 700 est donnée pour plus de 7h d’autonomie en mode maximum, mais on ne s’y met qu’en VTT lors des descentes rapides qui demandent de voir loin devant et en même temps là où on roule.
En plus, ce système de fixation me permet même de la mettre directement sur un casque de spéléo (ou de VTT) sans avoir à le percer.
Et pour fixer l’accus derrière le casque, pas de vis, juste deux petits élastiques qui passent dans le casque par des petits trous et qui permettent d’enlever rapidement le boitier accus.
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]]>Le principe est simple, sur chaque parcours, il y a des balises obligatoires à pointer, et d’autres facultatives qui permettent de gagner du temps bonus.
Le départ est prévu à 22h00 de Sare, avec un trail en orientation sur la Rhune, suivi de nombreuses épreuves en orientation pure. Il fallait donc être prêt physiquement mais également techniquement, surtout au niveau éclairage, c’est pourquoi j’ai tout de suite opté pour l’éclairage Scurion 700 (voir ici pourquoi ce choix).
La montée de la Rhune se fait au rythme de Cédric qui revient du Grand Raid des Pyrénées, autant dire que ne profite pas trop du paysage….
Au retour du sommet de la Rhune, avec 4 balises récupérées, 900 m de dénivelé et 16 km dans les pattes, on rigole déjà moins, mais comme une seule équipe est arrivée avant nous , ça redonne le moral.
Ça continue par 30km de VTT bien raide, entrecoupé d’une descente en tyrolienne au dessus du lac de St Pée sur Nivelle.
Suivi d’une course d’orientation ”fabuleuse” dans les ronces et autres chachis pendant 1h30.
Mais comme on a signé pour en chier, on ne se pose pas trop de question, et le temps de pointer, c’est reparti pour encore 20 km de VTT….
Depuis la Rhune, on a pris l’option de ne plus prendre les balises facultatives, ce qui nous permet finalement à nos deux équipes d’être toujours les premiers et deuxième au temps scratch. On sait qu’au final, on perdra des places, mais pour le moral, c’est super d’arriver toujours les premiers à chaque sortie d’épreuve.
Après le VTT, on “repose” les jambes pour faire travailler les bras….10 km de canoë sur la Nive entre Ustarritz et Bayonne.
Mais quel plaisir d’arriver par la Nive dans le centre ville de Bayonne au petit matin!
Pour se dégourdir les jambes, l’organisation a prévu une course d’orientation urbaine à la découverte des trésors cachés du petit Bayonne.
30 minutes plus tard et 3-4 km de plus dans les jambes, il est temps de repartir en canoë vers l’embouchure de l’Adour avec une pause au milieu du bois du Lazaret….CO de 30 minutes…
La chaleur monte en se début de matinée, et on sent la fin se rapprocher mais il faut encore courir 4 km sur le sable mou de Tarnos…..
….et reprendre le VTT pour les 15 derniers kilomètres avant de toucher la dernière balise à Labenne après plus de 14 heures d’effort!
Après quelques boissons rafraîchissantes, il est temps de se reposer un peu en attendant les résultats!
Finalement, nos deux équipes se classent 8 et 9 sur 26.
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Comme l’an dernier, nous sommes deux équipes de copains à se tirer la bourre pour rigoler ensemble. Les équipes ont été faites par la limite des 40 ans! Les jeunes-vieux de plus de 40 ans et les vieux-jeunes de moins de 40 ans.
Comme l’an dernier, nous sommes fin prêt à nous tirer la bourre tout au long de ces deux jours d’épreuves, mais surtout rigoler un bon coup!
Les épreuves s’enchaînent avec quelques rares pauses pour se restaurer.
Heureusement qu’il y a une épreuve tranquille, le tir à l’arc…
Mais tout en déconnant et en rigolant, on se débrouille quand même pour donner le maximum tout en filmant pour tenter de réaliser un petit film.
On n’échappe pas au coastering du dimanche matin….
Après plus de 8 heures d’effort assez intenses répartis sur 24 heures, on arrive à terminer 8ème de cette édition, tout en réalisant un film.
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]]>Le but de cet article est de présenter cet outil et quelques ressources qui l’accompagnent sur le net.
Cette application peut paraître, aux premiers abords, assez compliqué….. et c’est vrai, mais tout simplement parce qu’elle est très complète et paramétrable à souhait en fonctions de nos attentes! Mais une fois que l’on en maîtrise les bases, c’est un vrai plaisir de l’utiliser.
Dans un premier temps, il faut disposer d’un smartphone Androïd doté d’un GPS (ce qui est le cas pour tout les modèles depuis plusieurs années maintenant). Par contre,toutes les puces gps ne se valent pas, si bien que certains smartphones seront bien plus précis que d’autres.
Une fois Oruxmaps bien en main, il est possible de créer et gérer des waypoints, créer des traces, suivre des itinéraires au format GPX ou KML, créer vos propres cartes, etc, etc….
Oruxmaps à la particularité d’utiliser des cartes en lignes gratuites (comme Openstreet Map) et il faut donc dans un premier temps, une connexion internet. Mais Oruxmaps peut facilement télécharger et utiliser ces cartes directement sur la mémoire du smartphone, si bien que l’on peut les utiliser en permanence sans connexion en créant ses cartes en fonctions des lieux où l’on va.
Un manuel complet au format PDF est disponible ici.
Un article bien complet est disponible sur le site du Conservatoire d’Espaces Naturels Rhone-Alpes.
Le soucis de cette application, c’est que l’on n’a pas accès directement aux cartes de l’IGN (gratuitement ou en payant). Mais il existe des solutions assez faciles pour créer ses propres cartes pour un usage privé. Avant de commencer, je vous invite à lire la licence géoservices IGN pour usage grand public.
Ce tuto de Thomas CHAPUIS date un peu, mais il est toujours d’actualité et bien expliqué.
A titre perso, je l’utilise souvent en VTT, en positionnant le smartphone sur le cadre. Avant de partir, je crée un parcours directement sur Oruxmpas ou télécharge une trace sur Openrunner, et zou, y a plus qu’a suivre les flèches bleues.
Plus de perte de temps à chercher son itinéraire et à chercher sa position. Mais ce qui fonctionne pour le VTT , fonctionne très bien pour les marches d’approches en spéléo pour localiser les cavités.
Pour préserver la batterie, il est préférable de mettre son smartphone en mode avion, et pour être sur de tenir toute la journée, il est possible d’utiliser des petites batteries externes (power bank).
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]]>Pour l’assistance, Titi déclare forfait la veille pour un gros mal de dos, si bien que Zéb le remplace au pieds levé!
Erwan, de la boulangerie artisanale l’arbre à pain de Saubusse nous donne un coup de main en nous offrant de beaux t-shirts.
Sébastien et Eric, les jeunes de la bande l’ont déjà fait il y a 2 ans, alors on s’inquiète pas trop, si ce n’est qu’avec Cyril, on a du se mettre au roller depuis deux mois car il y a une épreuve de 10km!
Nous avons le dossard 52, même si nous aurions largement préféré le 51….
Bref, pour se mettre en jambe, ça commence par 10km sur la plage à marée haute, dans le sable mou, entre les arcs en ciel et les averses….
Une fois cette ”partie de plaisir” terminée, on enchaîne par 22km de VTT en orientation. On ne crève pas, on ne casse pas de chaîne, on tombe pas trop et on ne se perd pas, si bien que l’on enchaîne sur les 10km de roller. Les cours particuliers de Caroline ont bien servi, ça passe sans trop de casse!
On en profite pour retrouver une connaissance du Saubusse, Philippe, qui nous a doublé dans l’épreuve de VTT (en oubliant pas mal de balises….).
A chaque changement d’épreuve, notre assistant assure fort pour son premier raid, tout est prêt à chaque fois!
Le temps de manger une compote et d’enlever les rollers, nous nous embarquons sur nos frêles esquifs qui nous permettront de descendre le ruisseau de la Palue.
L’eau c’est bien, mais c’est mieux avec du 51, alors au bout de 5,1 km on sort et on enchaîne pour un ”petit” run and bike….
Il faut relier le ruisseau de la Palue à Castets avec le passage à deux balises obligatoires vers 3ème km et 12ème km. Le reste est en orientation pure, à partir de la carte IGN au 25000°. Il faut donc choisir sont trajet comme on le sent, en essayant de jongler entre le plus court pour courir et le plus roulant pour le VTT!
Annoncé à 19km, on réussi à le faire en 16.25km, ce qui est largement suffisant!
On pose les vélos, on mange un truc et on récupère une carte pour la dernière épreuve….Une course d’orientation dans le village de Castet.
Le temps de comprendre le schmilblick, on repart à fond les manettes!
On grenouille pendant une heure dans Castet à chercher une quinzaine de balises, plus quelques objets qui permettent de glaner quelques minutes de bonifications.
Mais pendant qu’on courait, notre assistant, Zébulon, aidé de Titi (qui est venu nous rejoindre en fin d’après midi) a répondu juste à un questionnaire, ce qui permet de glaner encore quelques minutes de bonifications.
Finalement, on termine 30ème sur 90 équipes, on n’a pas attrapé de tiques et on n’a pas perdu de VTT! Bref on s’améliore et on reviendra…..peut être!
Toutes les photos du raid landais sont disponibles sur l’album photo de Michèle MOUHEL
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